Il manque à Berruyer la dimension géopolitique, celle des rapports entre la construction européenne et le Grand Frère américain, qui a poussé Jean Monnet vers un projet complètement utopique pour mieux diviser les Européens et donc les contrôler, en faire un protectorat de l’Oncle Sam.
Il lui manque aussi une réflexion sur l’idéologie mondialiste, ses ressorts idéologiques et ses finalités.
Pourquoi ne dit-il pas que le projet européiste part de la volonté de détruire les Etats-nations pour enlever aux individus leurs protections traditionnelles et le cadre naturel de leur existence… afin de leur imposer les intérêts de l’oligarchie financière ?